Même si mon beau-père était un beau-fils, il m’aimait beaucoup et ne voulait pas me mettre de poussière. Je me rendrais compte plus tard que l’intérêt qu’il portait à moi était très différent de l’intérêt qu’un beau-père portait à sa belle-fille. Mon mari avait cinq ans de plus que moi. Il avait une personnalité quelque peu passive et passive. Il ne s’est mêlé de rien, il ne s’est opposé à rien de ce que j’ai fait, il a lutté pour faire tout ce que je voulais… C’est peut-être pour ça que j’ai accepté de l’épouser à cause de ses habitudes.

J’aimais qu’il y ait quelqu’un à qui je pouvais passer ma parole, qui ne m’écraserait pas, qui ne me réprimerait pas. Je voulais me débarrasser des pressions et des restrictions que je voyais dans ma propre famille dès que possible, me marier et être à l’aise.

J’ai pu le découvrir après mon mariage. La passivité de mon mari n’était pas seulement contre moi. La mort de son père quand il était petit, la dureté du beau-père ramené à la maison par sa mère, la discipline, les coups avaient affecté sa personnalité à l’âge du développement. Avec sa mère, qui était une femme calme, elle est devenue une personne timide et lâche qui ne pouvait pas briser la parole de son beau-père, ne pouvait pas résister. Tout comme ma fuite de ma famille, il a vu notre mariage comme un refuge pour moi.

Nous ne pouvions pas aller dans des maisons séparées en raison de la situation financière. Nous vivions tous ensemble dans la maison de sa famille, qui était assez spacieuse. L’autorité de mon beau-père, qui non seulement se révélait à moi, mais dont la présence se faisait sentir, sa souveraineté prévalait dans toutes les décisions concernant la famille à l’intérieur de la maison.

Après le dîner, notre chambre, où nous nous retirions la nuit, où nous pouvions rester seuls, était comme notre zone libérée pour mon mari… nous faisions l’amour et parlions jusqu’à ce que nous nous endormions au lit.

Il me parlait des actes de son beau-père, de ses tourments. Et je serais étonné de ce qu’ils ont dit, étonné. Je n’arrivais pas à croire les choses que faisait mon beau-père, même s’il avait l’air dur, qui me traitait comme une princesse.

La plus grande passion de mon mari était mes pieds. Pour une raison quelconque, il aimait mes pieds. Surtout quand on était fiancés, quand je lui faisais l’amour sans aller trop loin, elle prenait constamment soin de mes pieds. Au début, il était un peu étrange pour moi, mais plus tard je m’y suis habitué, tout comme ses autres habitudes.

Je peux même dire que j’ai aimé la façon dont il s’est mis sur mes pieds, a léché mes ongles et mes doigts de vernis à ongles pendant des minutes, les a mis dans sa bouche un par un et les a sucés pendant que je me tortillais pour des relations sexuelles consensuelles.

Bien sûr, il lui était utile d’avoir un orgasme en aimant mes pieds sans briser ma virginité, et de me réconforter avec le sexe oral… la même habitude a continué après mon mariage. Été ou hiver, mes jambes en chaussettes, mes pieds en vernis à ongles étaient ses préliminaires indispensables. Il a soulevé sa virilité pas trop grosse comme ça et a joué avec mes pieds pendant des minutes

Il était agenouillé devant moi, léchant, léchant avec sa langue comme un chiot. Après qu’il m’ait fait caresser sa bite entre mes pieds, qu’il a trempée décemment, c’était à mon tour d’arriver à ce que je voulais. Eh bien, j’ai aimé ce sur quoi je mens… mon mari, avoir un homme à genoux devant moi, pouvoir lui donner des ordres, suivre les ordres que je donnais comme un chien…

Il était allongé sur le sol, me faisant le tirer sur lui avec mes pieds chaussettes, le pressant vers le bas, l’écrasant. Alors que sa langue mouillée errait autour de mes orteils, je m’évanouissais déjà… après tout, quand je ne pouvais pas le supporter, il est entré en moi, il pouvait me satisfaire.

Les mois passaient comme ça. J’étais habituée au mariage maintenant, à mon mari, à sa famille. Une nuit, ma femme était très en retard, tout le monde s’était couché à la maison. J’étais assise dans le salon en chemise de nuit en attendant mon mari. Mon beau-père est entré dans le couloir avant l’arrivée de mon mari et s’est assis en face de moi. On a commencé à discuter. Le sujet de la conversation que nous avons commencé à partir de rien a changé et ensuite…

La chemise de nuit sur moi était un peu courte. Mes jambes étaient sur la place, et comme il y avait beaucoup de décolleté, près de la moitié de mes seins étaient sortis. Ses yeux planaient au-dessus de moi comme un oiseau de proie. Je ne pouvais pas me lever pour t’interrompre, et peu importe à quel point j’enfilais ma chemise de nuit courte, je ne pouvais pas couvrir ma nudité.

Il a ouvert la conversation. Il a commencé à me dire à quel point son fils était stupide. Je n’ai pas vraiment compris ces mots au début. Mais ensuite, il a changé de sujet et a soudainement commencé à parler de moi.

Il me disait que j’étais une femme très belle, gentille, sexy et qu’il trouvait en moi toutes les caractéristiques qu’il recherchait chez une femme. Mon Dieu, je n’en croyais pas mes oreilles. Même si j’étais un beau-fils, il me parlerait de ma sexualité en face sans aucune hésitation… J’étais choqué, figé, je ne pouvais rien dire.

Il portait un survêtement. Et il y avait une énorme bosse devant lui… presque la taille d’un gros concombre, me montrant cette bosse et la caressant comme si elle me piquait dans les yeux. Même si j’ai essayé de détourner les yeux et de ne pas regarder, ce n’était pas comme si je ne pouvais pas être regardé. Comme fasciné, mes yeux se dirigeaient vers la place d’un homme.

Je me suis finalement levé, à moitié nu dans ma chemise de nuit, et j’ai couru dans ma chambre. J’ai fermé ma porte et me suis penché en arrière en haletant. Mon visage était rouge, je ne pouvais pas respirer. Quand je me suis un peu calmé, je me suis jeté sur le lit. Au bout d’un moment, mon mari est venu et s’est couché.

Toute la nuit, les yeux fixés au plafond, je n’ai pas cligné des yeux pendant que mon mari ronflait à côté de moi. Ce que disait mon beau-père résonnait dans mes oreilles, ses yeux qui me regardaient avec appétit et désir, ses peluches de la taille d’une aubergine ne me quittaient presque pas des yeux.

Je ne pouvais rien dire à mon mari à propos de cette nuit-là. Malheureusement, comme nous travaillons au même endroit, je devais être avec lui toute la journée. Après ce jour-là, mon beau-père a commencé à me presser un peu plus chaque fois qu’il en trouvait l’occasion. Il mentait pratiquement et me regardait. Le matin des nuits où mon mari et moi avions des relations sexuelles, il souriait de manière significative, de manière significative, le soir, comme s’il essayait d’expliquer qu’il nous regardait, il apportait un punduna et me parlait en insinuant des choses sexuelles…

“N’essayez pas de vous détendre juste parce que je suis fatigué.”elle dit, puis elle me tend le doigt et fait allusion à l’orgue vraiment pas très gros de mon mari, “Tu es une femme comme une jument. Je sais qu’un si petit outil ne peut pas vous fatiguer”, disait-il.

Quand j’ai entendu ces mots insinuants, mon visage a rougi de honte. Mon beau-père riait bruyamment quand il a vu mon visage rougi. De temps en temps, il me disait à quel point il m’aimait. Il parlait de la façon dont il ferait n’importe quoi pour être avec moi. Il a ignoré la différence d’âge de près de vingt ans entre nous, me décriant comme son épouse.

Au bout d’un moment, j’étais follement contente quand mon mari a été transféré dans une autre ville. J’étais tellement heureuse de me débarrasser de mon beau-père, de la vie infernale qu’il me faisait vivre, m’obligeait à endurer en silence. Mon rendez-vous du statut de conjoint a été pris dans la même ville, et nous avons immédiatement quitté leur maison.

C’était presque comme si nous avions tout recommencé dans la nouvelle ville… Maintenant, nous étions seuls avec mon mari dans notre maison et nous allions vivre comme nous le voulions. Ce n’est pas que je ne pensais pas à mon beau-père de temps en temps… comme si je n’étais pas celui qui a vécu dans la peur pendant des mois…

Parfois, lorsque je faisais l’amour avec mon mari, je fermais les yeux, imaginant les poches devant mon beau-père devant mes yeux. Au lieu que mon mari se promène sur moi, je rêvais de lui, établissant que ce qui était en moi était sa grosse bite.

Comme le fétichisme des pieds de mon mari, c’était mon secret, mon fantasme que je ne pouvais pas dire à mon mari. J’étais en extase avec ces rêves, je m’évanouissais. Et mon pauvre mari pense que c’est lui qui m’a fait ainsi, soi-disant qu’il était fier de sa virilité, même s’il ne me l’a pas dit.

Oh, s’il savait seulement… que je n’étais pas satisfait de ce qu’il m’a donné… Que je me suis retourné et que j’ai dormi après son arrivée, que j’ai fermé les yeux et que je me suis caressé… Quels rêves j’avais pendant que mon mari ronflait à côté de moi… Que les mains caressant mes seins, l’entrejambe de ma chemise de nuit étaient les mains de mon beau-père… Quels films porno je faisais en doigtant mon clitoris de chatte…

Si seulement il savait comment je tremblais dans notre ancienne maison, essayant de ne pas réveiller mon mari, me mordant les lèvres, essayant de ne pas faire de bruit, atteignant l’orgasme avec des scénarios dans lesquels mon beau-père, qui me serrait partout dans la maison, m’a violée de force, m’a baisée dans toutes sortes de positions, gémissait sous moi … me mordant les lèvres, me mordant les lèvres, essayant de ne pas réveiller mon mari…

Six mois s’étaient écoulés depuis décembre. Un soir, j’ai été choquée lorsque mon mari m’a dit que son beau-père venait en ville pour un travail et restait avec nous. Mon Dieu, le cauchemar commençait… J’aurais souhaité dans mon cœur qu’il ait tout oublié.

Les fantasmes que j’avais la nuit étaient juste d’avoir un orgasme, ils m’appartenaient. Dans la vraie vie, j’avais peur de telles choses… mon beau-père me serre, ses putains de regards, ses insinuations sexuelles, je transpirais de peur quand j’y ai pensé.

Le lendemain soir, ils sont venus avec mon mari. En fait, le bouquet de fleurs dans sa main suffisait à me faire oublier ce qui s’était passé entre nous. Déc. Il m’a traité comme un gentleman au dîner, m’a fait rougir le visage en triant les compliments que je ne méritais pas les uns après les autres. Pendant que nous buvions notre café après le dîner, il m’a dit qu’il m’avait aussi apporté un cadeau. Il a sorti une petite boîte de sa poche et m’a dit

Quand il l’a remis en disant ” “Un petit cadeau à ma seule épouse”, mon cœur a semblé s’arrêter d’excitation. Il y avait une petite chaîne dans la boîte. Quand j’ai voulu mettre la chaîne à mon poignet, il m’a bloqué,

“Non, non… C’est le bracelet de cheville… Tu le porteras à la cheville”, a-t-il demandé à mon mari de m’aider. Alors que mon mari s’agenouillait devant moi et posait la chaîne sur ma cheville avec des mains tremblantes, j’ai senti une étrange excitation me recouvrir et mes fesses se mouillaient. J’ai bégayé,

“Je ne sais pas comment te remercier!…”en essayant de dire, il m’a dit avec un étrange scintillement dans les yeux que je me souviens d’il y a des mois,

”Vous savez comment dire merci”, a-t-il dit. Puis se tournant vers mon mari, qui ne pouvait détacher ses yeux de mes pieds, il a dit: “Comment, la cheville était-elle belle sur le beau pied de ma mariée?”il a demandé.

“E… Oui…”mon mari bégaya en avalant… “Ça a l’air très bien, c’est très beau.”puis il est devenu rigide et a essayé de cacher son organe, qui était visible de l’avant de son pantalon, avec ses mains. Il a regardé ma cheville toute la soirée.

Eh bien, alors quand nous sommes entrés dans notre chambre, mon mari s’est immédiatement agenouillé devant moi, a commencé à lécher mon pied enchaîné. Et puis on a fait l’amour comme des fous. Il a fini son travail tôt comme d’habitude et s’est endormi, alors je suis allé dans la salle de bain.