film de jeux amusants Bonjour, je m’appelle can, cet événement est arrivé au moment de mon lycée et il est tout à fait réel.
c’était l’heure du lycée, nous nous promenions avec des amis du quartier, nous sommes allés à la plage et avons bu une bière ou deux. je suis rentré chez moi le soir et je suis venu à la maison avec mon ami Mehmet, qui était dans la même rue, et nous sommes arrivés devant la maison, parce que c’était un jour d’été, ceux à la maison étaient encore assis sur le balcon de la maison, je ne voulais pas entrer dans la maison parce que je buvais de l’alcool, et nous sommes allés vers eux en disant que j’allais chez mehmet.

nous sommes montés à l’étage et sommes allés dans sa chambre, sa mère était habituée à ce que nous soyons debout devant l’ordinateur et la télévision dans la chambre avant. debout dans la pièce, il a dit que devrais-je boire l’une des bières dans le placard que son père se réservait, nous avons déjà ouvert deux bières, disant que cela arriverait avec ma tête un peu belle, et soudain avec la télécommande, il a allumé la chaîne porno du satellite et nous avons commencé à regarder, je ne pouvais pas quitter l’écran des yeux, je venais de commencer le lycée et je n’avais jamais eu de petite amie. Je ne pouvais pas m’empêcher de ressentir de la douleur en moi, et Mehmet, qui a un an de plus que moi, avait une petite amie auparavant, et chaque fois que nous parlions de sexe, il parlait de l’embrasser et de la toucher.

quand j’ai regardé mehmet après les bières, sa bite s’est levée, alors mehmet est venu me voir et m’a dit dois-je vous dire un secret, pendant que je regardais une bonne télé, j’ai dit söle, je suppose qu’il vous dira qu’il a baisé la fille, puis il a commencé à parler de lécher sa bite avec son ami au village. c’était bizarre pour moi, je voyais parfois du porno gay, mais je n’y pensais jamais. Déc. si tu aimes ça, mon cerveau s’est arrêté quand tu m’as demandé si je devais avoir le tien aussi, je ne pouvais que dire oui. il a sorti ma bite retournée de son pantalon devant moi et a commencé à la tenir dans ses mains, ses mains étaient très chaudes et c’était très agréable.

j’étais tellement excité que j’ai pressé et froissé la canette de bière dans ma main, versé les deux gouttes de bière restantes dans ma bite de 15 pièces et commencé à la lécher, la léchant plutôt bien, et j’ai éjaculé sans trop de temps. c’était un sentiment très agréable, j’étais allongé sur le canapé les yeux fermés. soudain, il s’est assis à côté de moi et a pris ma main sur sa bite, je me suis légèrement blessé aux yeux, et sa bite, qui était plus grosse que moi, comptait. quand tu as dit que c’était ton tour, je ne pouvais rien dire et je me suis légèrement redressé et j’ai pris ta bite dans ma bouche.

J’étais très étrange au début, mais en quelques secondes, j’ai commencé à lécher et à en profiter beaucoup. Je n’arrêtais pas de le mettre sur le canapé et de le pousser dans ma bouche, et c’était un sentiment formidable. je l’ai léché pendant environ cinq minutes et il est finalement arrivé. Je me penchais en arrière sur cette chaise, le regardant pendant qu’il éjaculait sur la serviette, et je commençais à penser à ce qui venait de se passer. Je venais de lui lécher la bite et j’aimais vraiment ça. Je me suis levé, j’ai emballé ma base et je me suis allongé sur le canapé de neige, je me suis endormi en pensant aux moments de plaisir juste avant. c’était le matin quand je me suis levé et Mehmet dormait sur le siège opposé.

Je l’ai juste regardée et je me suis souvenue de ce qui s’était passé la nuit dernière, et j’étais gênée et effrayée, mais ces minutes ne pouvaient pas sortir de mon esprit. sa mère est entrée dans la chambre et a appelé pour le petit déjeuner. je me suis lavé les mains et le visage et je me suis assis à la table sur le balcon, puis Mehmet est venu et était très joyeux, a dit gday et a déjeuné.

après le séjour, il m’a chuchoté à l’oreille à la porte alors que je partais, il a dit ne le dis à personne, je ne le dirai à personne, sinon nous serons finis tous les deux, et à ce moment-là j’étais soulagé, pensant qu’il avait peur, et l’affaire était close.

Je n’osais plus le lécher, mais je ne pouvais pas oublier ce sentiment non plus.